Je ne renoncerai plus à mon nouveau mode de vie !
Monika lutte contre le surpoids depuis son adolescence. De nombreux régimes ont échoué, jusqu'à ce qu'elle « bascule » à 125 kg et commence à perdre du poids grâce au concept Precon, qui lui convenait parfaitement comme un pot à son couvercle. Un an plus tard, elle est presque arrivée à son but et porte aujourd'hui du 40/42. Ce que de très bons résultats sanguins ont à voir avec cela, vous le lirez ici.
Ma motivation
Mon poids a augmenté progressivement. J'étais un(e) accro du canapé, je ne mangeais pas excessivement, mais surtout mal, et je grignotais toujours le soir. Par exemple, je buvais volontiers un chocolat chaud le matin, mangeais un sandwich à la charcuterie au deuxième petit-déjeuner et au déjeuner, et le soir des spaghettis ou une pizza, suivis de chips et de sucreries sur le canapé.
Lors d'un bilan médical, j'étais nerveux car j'avais peur des résultats. Il y a des diabétiques dans ma famille. Et je pensais que, avec mon poids, j'étais proche du diagnostic. Mais pas du tout ! Mes valeurs étaient excellentes. J'ai eu du mal à y croire. En même temps, je me suis dit : Bon, avant que les valeurs ne se détériorent, je fais enfin quelque chose, sinon ce sera encore plus difficile. Honnêtement, je ne pouvais plus me regarder dans le miroir, encore moins supporter des photos de moi.
J'ai vu la publicité TV de Precon et par hasard, une amie avait les Shakes de Precon. Je les ai essayés, puis je suis allé sur le site web et j'ai passé une commande, car je me suis dit que j'allais essayer maintenant. C'était le énième régime et je n'aurais jamais pensé que ça marcherait aussi bien.
Mon programme
Avant de commencer le régime, j'ai jeté tout ce qui était malsain chez moi. Depuis, je n'en ai plus du tout envie ! Je peux être très déterminée quand je veux et je n'ai eu aucun problème avec le régime. Je sais que ça semble étonnant, mais c'était comme ça. J'étais claire sur le fait que je voulais perdre du poids, donc je devais faire quelque chose. Une raison pour laquelle les sucreries ne me manquaient pas, c'est que les Shakes sont très sucrés. Ça me suffisait. Il n'y a pas eu de dérapages, je n'ai pas eu besoin d'aide supplémentaire de mes amis, j'ai bien su dire « non » et surtout je ne me suis pesée que 4 fois pendant toute la période.
La balance me stresse et je ne voulais pas me mettre la pression. Avant, quand il y avait des fluctuations pendant les régimes, je me décourageais vite et j'abandonnais.
Après 4 semaines, je me suis habituée au principe des trois repas. Je trouve qu'on peut supporter un peu de faim. Ce n'est jamais loin jusqu'au prochain repas. Quand j'avais l'impression de devoir mâcher quelque chose, je prenais une barre au lieu d'un Shake. Ou quand j'avais envie d'un vrai repas, je préparais une soupe Precon.
Pendant le régime, je prenais un Shake le matin et à midi, et le soir je cuisinais selon les recettes de Precon. Le livre de cuisine « einfach und schnell » (simple et rapide) est très recommandé. J'ai adapté mes recettes préférées selon les directives de Precon et j'ai pesé mes aliments. Aujourd'hui, il y a beaucoup plus de légumes dans mon assiette qu'avant et je me réjouis déjà de ma salade croquante le soir.
Mon conseil : je mélange le Shake Schoko et le Shake Cappuccino pour faire un Schokoccino : Très bon !
Mon succès
Je garde mon nouveau mode de vie, c'est une certitude.
J'ai découvert l'amour de la randonnée et du Nordic Walking et je sors chaque week-end dans la nature. Ma devise avant était : Mieux vaut mal rouler que bien marcher. Aujourd'hui, je fais tout à pied. Mon « parcours maison » fait 2,5 km en montée, il y a un an j'avais besoin de 90 minutes, je devais m'arrêter d'innombrables fois car je manquais d'air. Aujourd'hui, je fais le parcours sans pause en 38 minutes.
Mon conseil aux autres personnes en surpoids est d'avoir l'objectif bien en tête, de ne pas se stresser soi-même et de ne pas monter trop souvent sur la balance. En plus : la ménopause n'est pas une excuse, je l'ai constaté sur moi-même.
Les compliments de mon entourage me font du bien, même si parfois c'est un peu trop pour moi.
Après deux ans, j'ai retrouvé de vieilles connaissances qui ont été plus qu'étonnées de me voir. « C'est pas possible » et « C'est toi ? » m'ont-elles demandé. Je me suis bien amusée.
Pour me récompenser, je me suis acheté un jupon, que je voulais avoir depuis toujours quand j'étais enfant ?
